Revenez !
Géraldine
Monsieur,
Votre pseudo ne m’a pas abusée, je sais qui vous êtes.
Je vous lisais assidûment. Je ne me suis jamais remise de votre silence. Vos notes de blanchisseuses, ici, ce n’est pas vraiment ce que nous attendons d’une plume comme la vôtre.
Revenez, je vous en prie, Monsieur. La littérature a besoin de vous.
Fidèlement,
Géraldine