Dans la peau de Phébus
Cette nouvelle rentrée est peut-être l’occasion de me remettre dans la peau de Phébus. J’ai pensé à cela il y a quelques jours. Pour avoir le plaisir de me lire dans quelques années, il faut bien que je me consacre de nouveau à l’écriture, même si je n’ai jamais beaucoup écrit. Twitter et ses 280 caractères (140 les premières années) conviennent à la longueur de mes textes mais les tweets sont trop éphémères. J’ai compris il y a peu que je vivais une de mes dernières rentrées. Demain, j’atteindrai l’âge fatidique de 60 ans. Chaque entrée dans une décennie (...)