Feu de joie, feu de quoi ?
Jacques Layani rf.oohay@jinayal
Mon cher Phébus,
Comme vous le savez, du moins je l’espère, je n’ai rien d’un casseur, moins encore d’un incendiaire.
Toutefois, il ne faut pas écrire n’importe quoi. La librairie qui, à vous lire, fut incendiée, est l’ancienne librairie des PUF, rachetée par Gibert il y a quelques années à la disparition des PUF (éditeur), revendue ensuite à un crétin ne connaissant rien aux livres, qui a finalement décidé de la fermer et de la vendre à un marchand de fringues.
Tout cela pour vous dire que l’incendie -- pardon : le début d’incendie, heureusment maîtrisé -- a touché… un local désaffecté.
Je ne doute pas que vous rectifierez ce qui était une exagération de votre part, exagération évidemment due à l’émoi dont je vous reconnais pleinement le droit.