Un rêve de Phébus

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Sido

Les mots du travail s’infiltrent dans mon esprit. Ils m’endorment; je les rumine. Ils cheminent sur la pointe des aiguilles de ma montre. Mouvements infimes et profonds sillons. Il est question de bruits de couloirs. Des échos d’indiscrétions. Du coup toute la machine société se soulève comme une vague. J’ai le mal de mer.

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