Vermiatte
Sido
J’ai ouvert votre journal par hasard et à la vue du carré indiquant la mention "Texte du message" je n’ai pas pu résister à la tentation d’écrire trois mots dans cet espace géométrique vierge et strictement délimité. En fait j’aurais pu simplement signer d’une croix;je n’ouvre jamais un livre. La plupart des noms que vous évoquez me sont inconnus. J’ai devant eux un réflexe de méfiance paysanne. Un jour il ya quelques années mon frère m’a offert un livre de A Vialatte. Un almanach. "A la saint Médard les poivrots se couchent tard". Idem l’année prochaine…