Un rêve de Phébus

Sérotonine

Quelques heures passées en famille hier autour d’une galette des rois, de deux même puisque nous étions 11. Un moment à la fois agréable mais trop court. J’ai terminé assez rapidement Sérotonine. Il contient des phrases très drôles, comme toujours chez Michel Houellebecq, mais est d’une tristesse absolue. Quelqu’un de déprimé pourrait le lire pour constater qu’il y a pire que lui, à moins qu’il ne se suicide une fois le roman achevé. J’ai survécu.