« L’incolore Tsukuru Tazaki et ses années de pèlerinage » (Haruki Murakami) se révèle être un roman passionnant. Ce n’était pas gagné pour une « œuvre nostalgique et grave » (quatrième de couverture). Une de mes précédentes lectures a aussi été un plaisir : « Le roman du mariage » de Jeffrey Eugenides. Encore une quatrième de couverture : « D’un classique triangle amoureux, Eugenides tire un roman magistral, une comédie dramatique étincelante qui est aussi le portrait d’une génération ». Et le plaisir de lire un bon roman de plus de 500 pages. Chaque jeudi, après les cours de l’après-midi, j’échange quelques mots (et phrases) avec une jeune collègue professeur d’anglais qui enseigne à nos élèves de terminale à l’autre bout du couloir par rapport à la salle où je sévis. Elle a évoqué « nos rendez-vous du jeudi ».