Je suis en train d’achever la lecture du roman « Le Gardien des ruines », de François Nourissier. C’est la première fois que je lis un livre de ce « critique stylé », pour reprendre les termes employés par un journaliste du Monde (22 décembre 2012). « Le Gardien des ruines » mêle la vie d’un médecin situé politiquement à droite (soignant des pauvres) et une journée particulière de cette même vie. On parle beaucoup en ce moment d’un déjeuner, dont les convives furent un ancien premier ministre et le Secrétaire général de l’Elysée. Ils auraient parlé de Sarko, qui a beau jeu de se poser en défenseur de la République. On n’y croit pas trop. Il est aussi beaucoup questions de coups de couteau donnés par une vedette de la télé réalité à son compagnon. Jean-Pierre Chevènement a réaffirmé dans les Matins de France Culture (11 novembre 2014) que le plus d’un million de Français morts pendant la Première guerre mondiale n’étaient pas morts pour rien. J’aimerais qu’il ait raison.