Un rêve de Phébus

Des contrées souvent lointaines

Dans la nouvelle configuration de notre chambre, j’ai une grande bibliothèque devant moi avec des revues littéraires tout en haut et des romans étrangers dans les autres rayons à l’exception de celui du bas (romans français). Les deux petites bibliothèques, respectivement dans l’alignement et perpendiculaire à la grande contiennent des livres portant sur l’économie ainsi que des magazines (littérature, économie et histoire). Certains de ces magazines sont appelés à disparaître, la place dont je dispose n’étant pas extensible. Regarder les dos des romans fait vagabonder mon esprit dans des contrées souvent lointaines.