Elections
J’ai déjeuné dans un centre commercial, en compagnie du Figaro, de Libération et de leurs articles sur les élections. J’aime les récits de la soirée électorale vécue dans les différents quartiers généraux. Un slogan, injuste mais amusant, pour le second tour : « Ni gourde, ni gourdin ». Au dessert, j’ai savouré La Quinzaine littéraire avec des papiers sur Haruki Murakami et sur William Burroughs. Ce dernier a abattu sa femme en jouant à Guillaume Tell.