Une faiblesse pas toujours partagée
Hier, en revenant de M où j’avais raccompagné mon père, j’ai pu trouver les journaux du week-end dans une station service sise sur l’autoroute. Bien m’en a pris car, sinon, comment aurais-je pu savoir que Ian McEwan avait un frère caché de 65 ans (Madame Figaro du 6 avril 2007) ? Ma petite sœur m’a rendu « La possibilité d’une île » de Michel Houellebecq et m’a prêté « Grande Jonction » de Maurice G.Dantec. Nous avons quelques goûts littéraires communs, même si je ne sais pas encore si j’aime MG Dantec. J’ai en effet la faiblesse, pas toujours partagée, de penser qu’il préférable de lire un ouvrage pour se permettre de le juger. 19 heures 30, A vient de terminer son assiette de soupe et le yoghourt qui lui a succédé. Martine est en train de lui lire un livre, lecture dont elle est de plus en plus friande. Il est question d’une princesse qui vit son premier jour d’école, accompagnée de ses majestueux parents.