Petit message personnel
Personne ne m’a félicité pour la publication de mon roman. Comme vient de me le dire Nanette, « ce qui m’a fait tiquer, c’est le facteur un dimanche ». « J’ai failli marcher, le reste me paraissait plausible ». J’ai au moins une lectrice qui n’a pas une trop mauvaise opinion de moi. A la fin de sa critique de l’ouvrage « Le souffre et le moisi », Christopher Gérard pose la question suivante : « Qui écrira la bonne et belle synthèse sur la droite littéraire ? » Je m’adonnerai bien à cette tâche plus tard, dans mes jours un peu plus vieux. J’ai terminé le roman de Gil Graff, je m’empresse de me permettre un petit message personnel : il est trop court !