Un rêve de Phébus

Une autre personne, que pourtant j’étais

Ce soir, nous gardons le demi-frère de Nath, qui n’a d’yeux que pour Martine. J’ai dit à celle-ci que si nous n’attendions pas un bébé, cela nous donnerait envie d’en refaire un ; heureusement, dans un sens. J’ai retrouvé d’anciennes de mes lettres adressées à mes parents, les unes datant de 1975 (je séjournais à Leeds), les autres de 1985 (je jouais au militaire). Les lire m’a procuré des sensations curieuses, confirmation de souvenirs, redécouverte d’éléments du passé, comme s’il s’agissait d’une autre personne, que pourtant j’étais.

De février 2003 à octobre 2003 de nouveau en ligne :

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