Un rêve de Phébus

Les bouchons de la Francilienne en ont décidé autrement

Les Petits sont dans leur bain, je les entends jouer. Je vais bientôt les savonner et shampouiner leurs cheveux. Ce matin, je suis arrivé en retard à E. Le retour a été plus rapide. Lorsque j’en ai terminé avec un trajet comme celui-là, j’ai l’impression d’être un survivant. J’ai fini le premier tome (livre 1) de 1Q84 d’Haruki Murakami, je commence le livre 2 dans la foulée. Je pensais avoir le temps d’en lire quelques pages ce matin, avant d’interroger les élèves du premier groupe. Les bouchons de la Francilienne en ont décidé autrement.