J'ai alors coupé la radio
Appel d’un auditeur d’une radio périphérique qui explique que la crise financière n’a rien de grave pour nous et que Sarko (il a dû dire Sarkozy) a fait son bla-bla habituel d’avocat. Réponse du porte-parole de l’UMP : les banques françaises, engagées auprès des banques américaines, vont avoir du mal à accorder des crédits. J’ai alors coupé la radio, non à cause de l’indigence du propos mais parce que j’étais arrivé à destination. Sarko est un homme qui passe son temps à essayer de convaincre qu’il est libéral mais qui n’a de cesse de prouver le contraire. Demain, nous remettons leurs diplômes à notre dernier cru de bacheliers. Je vais devoir improviser un discours.