A cause de la fin de son journal aussi
Pascal Sevran aura voulu donner raison à Europe 1 et à France 2 qui avaient annoncé son décès il y a trois semaines. On ne se contente pas de ne plus trop prendre le temps de vérifier l’information, on la donne à l’avance. Le problème, c’est que parfois, elle finit par s’adapter. La mort de Sevran m’attriste, non pas en raison de son amour de la chanson française, mais à cause de celui qu’il éprouvait pour la littérature, à cause de la fin de son journal aussi.