Un rêve de Phébus

Je ne veux pas la couche, je suis grande

Deux soirs sans Phébus, le sommeil a été plus fort que l’envie d’écrire. Dès qu’un des Petits est touché, toute la famille en profite. Hier midi, Nath n’est pas venue déjeuner à la maison, par précaution. Depuis le 11 mars, lendemain du 10, A fait la sieste sans couche. Elle le dit tous les jours : « Je ne veux pas la couche, je suis grande ». Elle la conserve tout de même pour la nuit. Deux conseils de classe aujourd’hui, près de 5 heures assis au tour d’une table, au moins c’est fait.