Le caractère décroissant de l’utilité marginale
Promenade à Chablis aujourd’hui, au milieu des vignes. Nous avons déjeuné dans un restaurant. Nous avons donné quelques morceaux de chaque plat à A, qui s’est régalée. C’est mieux pour elle qu’un petit plat destiné aux enfants. Quant à M, il s’est contenté de son biberon et d’un petit pot. Le premier étant trop chaud, il a commencé par le second, pleurant entre chaque cuillère, trop lente à son goût. Puis au fur et à mesure que son petit estomac se remplissait, il pleurait de moins en moins pour finir par ne plus pleurer du tout, illustration parfaire du caractère décroissant de l’utilité marginale.