Un rêve de Phébus

Un clin d’œil avisé qui a chaussé ses gros sabots

Dans une chronique du Figaro littéraire (8 septembre 2011) consacrée au « Clèves » de Marie Darrieussecq, Yann Moix traite André Gide de beauf. Un compte à régler ? En revanche, Moix est plus dans le vrai lorsqu’il écrit à propos du titre choisi par l’écrivain : « un clin d’œil avisé qui a chaussé ses gros sabots ». Certains élèves de ma classe de terminale ont souhaité que j’apparaisse sur leur photo de classe, en compagnie de leur professeur principale. A leur grand regret, j’ai refusé. Je n’avais pas en effet envie de me mettre en valeur, peut-être au détriment de ma collègue. Un choc en cette rentrée : pour la première fois, une élève m’a comme professeur alors que j’étais aussi un de ceux de sa mère.