Un rêve de Phébus

Un maestro démocratique qui ne se révèle n’être qu’illusion

J’ai jeté un œil à mes tous premiers Phébus, je pense les remettre en ligne. Parfois, j’ai envie de les retirer, d’autres fois de les remettre. Une vraie nouveauté serait de m’attaquer à mes cahiers, pour une sorte de retour vers moi même. Je me suis promené sur un site d’auto-édition. J’avais discuté avec un de ses responsables lors du Salon du livre de Paris. Internet permet à tous de publier, de diffuser, d’enregistrer, de connaître la gloire dans un maestro démocratique qui ne se révèle n’être qu’illusion. Tout le monde peut écrire mais tout le monde ne peut trouver des lecteurs. J’ai beaucoup aimé diriger un magazine sur SL mais j’ai été obligé d’en suspendre la parution. C’était une immersion dans l’écrit.